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Le blog de Emmanuelle Gaziello,

Le blog de Emmanuelle Gaziello,


Criminalisation des élu-e-s d'opposition par le Maire de Nice, Ch. Estrosi

Extraits des PV du conseil Municipal de Nice lors desquels le Maire, M. Christian Estrosi, investi de son pouvoir de donner la parole ou pas aux élus, et oubliant toutes les règles déontologiques en cours dans une telle assemblée, a insulté son opposition, en toute impunité.

19 decembre 08:Aprés avoir dû retirer la délibération "convention de mécénat avec Nespresso" lors d'un précedent conseil, le Maire m'accuse :"vous n'êtes
pas une élue démocratique. Ici, la

démocratie c'est nous qui la représentons, certainement pas vous, Madame

Gaziello, certainement pas quelqu'un qui pousse des jeunes à aller dans la rue,

quelqu’un qui barre les entreprises, quelqu’un qui empêche les citoyens d’aller

travailler librement tous les matins ! Vous n'appartenez pas à la catégorie de

ceux qui défendent les valeurs de la République et de la démocratie dans notre pays, etc...

Il m'accuse aussi de:

"barbarie, d'intégrisme, de stalinisme, "

me compare aux mamouths!!

( voir ci dessous)

 

Conseil Municipal du 19 décembre 2008

 

4.17 DELIBERATION CADRE CONCERNANT LES OPERATIONS DE

MECENAT.

Mme MARLAND-MILITELLO.- Pour rendre le travail

municipal plus efficace, plus rapide et plus économique étant donné

l'importance de cette ville, on a décidé que l'on ne vous ennuierait pas avec des

mécénats de petites sommes qui n'ont pas d'intérêt significatif ; nous

soumettrons donc aux délibérations les mécénats à partir de 30 000 euros.

 

(…)Mme GAZIELLO.- Concernant la 4.17, je pense d’une part que

vous auriez pu rajouter dans les considérants : « Considérant que lors du conseil

municipal du 10 octobre, suite à une réprobation sur le projet de convention à

caractère exclusif à passer entre la Ville et la société Nespresso pour un montant

de 20 000 euros, le maire a retiré la délibération », d’autre part : « Considérant

que la plupart des conventions de mécénat portent sur un montant souvent

inférieur à 30 000 euros, conclusion : en soumettant à la signature de M. le

maire ou son représentant les conventions de 30 000 euros ou moins, le maire

se donne ainsi le pouvoir de signer toute convention pour un montant inférieur

à 30 000 euros afin de ne pas avoir à en rendre compte au Conseil municipal. »

De plus, cette délibération cadre ne fixe aucune condition quant à la nature du

mécène, son implantation locale, son bilan social, son éthique d'entreprise et

c'est justement ce qui vous avait poussé, Monsieur le Maire, à retirer la

délibération Nespresso le 10 octobre dernier.

A ce sujet, le directeur de Malongo, société des cafés issus du

commerce équitable et implantée à Carros, vous a envoyé une lettre de

protestation signifiant son mécontentement de n’avoir pas été contacté au sujet

de cette offre de mécénat pour l’Opéra de Nice suite à la parution dans la presse

du retrait de la convention avec Nespresso. Vous ne nous avez pas fait suivre

cette information ni la suite donnée à cette lettre. Votre volonté affichée de

transparence et de démocratie s’arrêterait-elle aux limites imposées par

certaines entreprises privées ?

Venons-en à ce que révèle une telle décision : c'est vrai, Madame

l’adjointe, je vous l’accorde, ce sont des montants faibles au regard des recettes

de fonctionnement de la ville mais la signature de tels mécénats implique au

plus haut point l'image que véhicule notre ville à travers ses établissements

culturels. Alors, marchandisation ou pas ?

Ma collègue Mari-Luz Niçaise, présidente de la commission

d’appel d’offres, avait bien fait ressortir lors de son intervention la publicité à

faible coût que représentait un tel mécénat avec des affiches de 4x3 pour un coût

modique de 8 000 euros par an, rappelons-le, pour une entreprise privée faisant

de tels profits.

Ma question est la suivante : cette délibération est-elle le signe que

vous allez faire monter les enchères avec les éventuels mécènes quand ceux-ci

sont des multinationales aux bénéfices plus que conséquents ou est-ce la volonté

d’éviter tout débat public ? Nous avons appris de l’histoire, Monsieur le Maire,

que la démocratie est moins un Etat parfait qu'un processus en perpétuel

devenir. C'est par des décisions de pouvoir aussi insidieuses que celle-là, même

portant sur des montants aussi faibles, que l'on mesure l'état de régression de

notre démocratie.

(Exclamations de la majorité)

M. le MAIRE.- Sur les rapports que vient de présenter Madame

Marland-Militello, y a-t-il d'autres interventions ?

M. CHAUVET.(divers droite)- Sur la 4.17 qui vient d’être évoquée —et mon

intervention ne se veut évidemment pas une leçon de morale— vous aviez pris il

y a deux mois, Monsieur le Maire, une bonne initiative en retirant la

délibération Nespresso et aujourd'hui elle revient, par le biais de la 4.17, dans

des conditions encore moins bonnes que précédemment.

Il me semble, et je rectifie le propos de Madame Gaziello que je

fais mien pour partie, il me semble qu'elle se trompe lorsqu'elle dit que la

plupart des contrats de mécénat que nous avons évoqués étaient inférieurs à

30 000 euros ; je rectifie : toutes les conventions de mécénat que nous avons

examinées en conseil étaient inférieures à 30 000 euros, pas une seule

convention n'était supérieure. Cela signifie que si nous passons cette

délibération on ne verra pratiquement plus jamais passer en conseil de

délibération de cette nature. Ce n'est pas une bonne chose pour la transparence

en général.

(...)

 

Mme MARLAND-MILITELLO.-

A Madame Gaziello et à Monsieur Chauvet également, concernant

le mécénat, ce que je veux dire c’est que j’ai été très surprise de l’alourdissement

dans les conseils municipaux pour toute sorte de choses. Cela avait été institué

parce que sûrement des personnes voulaient tout voir mais, Madame Gaziello,

Monsieur Chauvet, rien ne se fait dans cette mairie qui soit caché !

Quand on va signer un document pour accepter un mécénat, nous

ne faisons rien de caché, tout ce que signe le maire est public ! Nous ne faisons

rien d'occulte et, si vous avez une inquiétude, je vous appellerai à chaque fois

que j’ai une demande. A ce propos, permettez-moi de vous dire,

Madame Gaziello —que j'apprécie beaucoup par ailleurs—, que votre diatribe

contre Nespresso à en faire le diable des cafés est proprement injurieux pour

cette entreprise, parce qu’elle ne correspond pas à tous vos critères écologiques.

(...)

M. le MAIRE.- Je vous remercie.

Je vais vous dire quelque chose, Madame Gaziello, car il faut

remettre les choses à leur place. Ce n’est pas la peine de nous jouer votre

partition. M. Blanc est une personnalité de grande qualité et j'ai la prétention

d'être celui qui, contre tous, avec heureusement le soutien de certains

industriels du département, a sauvé l’implantation à La Gaude contre le maire

de la Gaude, à côté d’IBM. Je suis fier d’avoir sauvé une grande entreprise qui

fait du commerce équitable dans notre département et je n'ai pas besoin de

madame Gaziello et monsieur Blanc n’a pas besoin de madame Gaziello s'il a

besoin de faire passer un message au maire de Nice. C’est un grand industriel

qui d'ailleurs n'appartient pas à la catégorie que vous appréciez parce que c'est

forcément un tortionnaire, forcément quelqu’un d’insupportable, parce que c’est

un créateur d’emplois, c’est un industriel, parce que c'est quelqu'un qui est dans

l'innovation, dans la recherche et dans le développement !

Ecoutez, vous qui représentez les dernières séquelles du

stalinisme, de la barbarie et de l’intégrisme dans la vie politique nationale, je ne

vous autorise pas à faire les sous-entendus que vous avez faits dans cette

assemblée ! C’est inadmissible, c'est indigne de la place que vous occupez dans

cet hémicycle. Je n'accepterai pas que vous ayez des comportements dans ce

prolongement dans d'autres séances, je vous le dis.

A partir du moment où tous les actes qui sont signés par le maire,

ici dans cette séance, sont des actes publics qui passent au contrôle de légalité,

je ne vous autorise pas à faire les sous-entendus que vous venez de faire. C’est

terminé. On passe au vote.

Je passe le rapport 4.5 aux voix.

(Protestations de madame Gaziello)

C'est indigne ! Vous n’êtes pas une élue démocratique. Ici, la

démocratie c'est nous qui la représentons, certainement pas vous, Madame

Gaziello, certainement pas quelqu'un qui pousse des jeunes à aller dans la rue,

quelqu’un qui barre les entreprises, quelqu’un qui empêche les citoyens d’aller

travailler librement tous les matins ! Vous n'appartenez pas à la catégorie de

ceux qui défendent les valeurs de la République et de la démocratie dans notre

pays et je n'accepte pas cette attitude, je ne l’accepterai jamais dans cette

assemblée !


 

30.11 DEVELOPPEMENT DES AUTOROUTES DE LA MER ET

ADHESION A L’ASSOCIATION CERCLE POUR

L’OPTIMODALITE EN EUROPE (COE).

M. BAUDIN.- C’est une liaison maritime qui vise à transférer

dans l’Union Européenne une part importante du trafic autoroutier poids lourds

de la route vers la mer.

Je me permets de rappeler que nous vous devons ce concept,

Monsieur le Maire, avec le président du Conseil général, Eric Ciotti, puisque

vous avez déposé en tant que député un amendement dans la loi-programme du

Grenelle de l’environnement. Ce concept, je le rappelle, est également une des

six orientations de l'Union pour la Méditerranée.

Pourquoi proposer au Conseil municipal d’adhérer au Cercle pour

l’optimodalité en Europe ? Je rappelle que le Département y est ainsi que la

communauté urbaine. Ce Cercle a été créé en mars 2007 et a pour but de

favoriser la constitution de transports multimodaux à la fois fiables, écologiques

et rentables. C'est un coût de 2 500 euros pour la ville de Nice.

 

M. LE MAIRE.- Je vous remercie. Madame Gaziello.

Mme GAZIELLO.- J’interviens sur les autoroutes de la mer.

Monsieur Baudin vient de dire que l’on vous doit, Monsieur le

Maire, le concept d’autoroute de la mer ; je suis donc retournée voir votre

considérant et votre amendement et je me suis rendue compte que ce concept

est très vieux puisqu'il apparaît officiellement en 2001 dans le livre blanc de la

Commission Européenne sur la politique des transports à l’horizon 2010...

M. LE MAIRE.- Mais cela ne vous fait quand même pas de peine

que je sois intervenu dans le Grenelle de l’environnement ?

Mme GAZIELLO.- Non, j'y reviens.

Il existe d'ailleurs déjà une autoroute de la mer qui part de Toulon

jusqu’à Rome et qui est assurée par un navire roulier qui peut embarquer

150 remorques, mais elle reste à développer malgré une forte progression avec

16 000 poids lourds en 2007.

Lorsque j'ai repris votre amendement à la loi de Grenelle qui vient

d'être votée, je me suis rendue compte que les axes sont le développement des

lignes d’autoroutes de la mer sur la façade atlantique mais aussi sur la façade

méditerranéenne entre la France, l’Espagne et l'Italie et que l'Etat investit

80 millions d’euros. Votre amendement ne parle pas du concept, je le cite : « Les

autoroutes de la mer sur la façade méditerranéenne contribueront au

développement de l'Union pour la Méditerranée et veilleront à préserver le

littoral méditerranéen. »

C’est un amendement qui relie les autoroutes de la mer à l'Union

pour la Méditerranée et c'est là où je comprends mieux pourquoi vous voulez

que la ville de Nice adhère à ce Cercle pour l’optimodalité en Europe qui, je le

rappelle, est un cercle uniquement patronal dont le but est de faire du lobbying

pour rechercher des financements puis, puisque l'Union pour la Méditerranée

rentre ici, pourquoi ne pas rechercher des marchés portuaires à bas prix de

l'autre côté de la Méditerranée.

Je me demande quelles sont les retombées pour la ville de cette

adhésion à ce cercle patronal ? Vous le faites porter par l’opération d’intérêt

national ; j’aimerais plus de transparence. Quelle est la nature du portage des

actions qui viseront à développer par l'OIN, c'est-à-dire la Plaine du Var, des

autoroutes de la mer alors qu’il existe déjà celle de Toulon ? Cela signifie-t-il la

création d'un port sur l’embouchure du Var ? Qu’est-ce que cela signifie que

l'OIN participe aux actions favorisant les autoroutes de la mer ? Quelle est la

retombée pour Nice ?

D'autant plus que dans cet article 10 du Grenelle, le rapporteur a

aussi intégré un amendement très important qui dit qu'il faut connecter les

ports : « adopter une stratégie nationale arrêtée par l’Etat en vue de

développer les ports et leur desserte, notamment par le recours au fret

ferroviaire, aux liaisons fluviales et aux autoroutes de la mer. » En quoi la

Plaine du Var peut-elle s'intégrer dans un projet où nous n'avons même pas de

fret ferroviaire qui puisse arriver ? Nous aimerions bien mais c’est ainsi.

Je me demande si ce n'est pas pour capter le financement de l'Etat,

je le dis tout simplement.

M. LE MAIRE.- D’un seul coup je réalise que vous n’avez rien

compris. C'est grave, depuis que nous débattons de l'OIN, que vous osiez parler

d'un sujet que vous ne connaissez pas et que vous n’avez pas étudié.

(...)

Quant à vous, Madame Gaziello, l'OIN n'est pas faite pour

accueillir des ports, des infrastructures, etc., c'est un laboratoire tourné vers

l’innovation, la recherche et le développement. C'est un espace où nous allons

accueillir toutes les entreprises de recherche du monde entier, à l'image de la

Silicon Valley sur les nouvelles technologies de l’information et de la

communication ou de Sophia Antipolis sur les solutions communicantes

sécurisées, ou l’INRIA, le CNRS dans la lutte contre Alzheimer, etc. L'OIN c'est

cela ! Nous avons le Cercle pour l'optimodalité sur les transports et les

autoroutes maritimes qui nous disent qu’ils veulent y installer leur siège social

pour la Méditerranée, comme Nicolas Hulot qui nous a choisis pour installer sa

fondation sur l'institut technologique de la Méditerranée. C'est là qu'ils veulent

faire de la recherche, du développement, de l’innovation industrielle, ce n'est

pas pour faire un port.

C’est cela la vocation de l'opération d’intérêt national, d’Ecovallée,

c’est la réunion de tous les savoirs et de toutes les intelligences du monde entier

qui vont réfléchir dans ce domaine. Nous installerons au coeur de tout cela un

campus universitaire qui y sera totalement dédié. Il serait temps de mesurer et

comprendre que ce sera pour nous une carte de visite exceptionnelle et

extraordinaire.

Lorsque le PDG de Mercedes France m’a dit qu’il voulait s'installer

dans Ecovallée, je lui ai répondu qu’il n'y avait pas sa place parce qu’il est un des

principaux émetteurs de C0², il représente tout le contraire de l’image que nous

voulons produire dans Ecovallée. Il m’a répondu que je ne l'avais pas bien

compris, qu’il voulait venir à Ecovallée non pas pour faire la vitrine des voitures

qu’ils vendent aujourd'hui mais pour y installer la cellule de recherche,

d'innovation et de développement de la voiture du futur non polluante de

Mercedes. Qu’aujourd’hui le patron de Mercedes vienne me voir pour installer

les laboratoires qui vont travailler sur la voiture du futur, vous voyez ce que cela

représente ? Avec ses scientifiques et ses ingénieurs ? Je me dis quelque part

que certains ont compris ce qu’est Ecovallée, et j'aimerais qu'une élue aussi

importante de notre département que vous comprenne ce qu’est Ecovallée.

Mme GAZIELLO.- Monsieur le Maire, cela veut dire que vous

allez installer des bureaux et encore des bureaux et, en fait de laboratoires, ce

seront des sièges sociaux d’entreprises. C’est vrai que ce sera certainement en

lien avec un campus...

M. LE MAIRE.- Ce ne sont pas des bureaux mais de la recherche

et de l’innovation !

Mme GAZIELLO.- D’accord, mais un laboratoire c'est aussi pour

appliquer les choses sur place. Or, aujourd'hui vous ne nous parlez que

d'installer des entreprises.

M. LE MAIRE.- Oui, je veux créer des emplois, excusez-moi !

Mme GAZIELLO.- Mais il n’est pas sûr que cela crée des emplois

endogènes, cela risque de créer beaucoup d’emplois exogènes, c'est autre chose,

c'est un autre débat.

M. LE MAIRE.- Vous trouvez que créer un campus sur le

développement durable qui formera les emplois qualifiés de demain pour

travailler dans Ecovallée, ce n'est pas fabriquer les emplois de demain sur

place ? Franchement, retournez à l'école ! Je n’y suis peut-être pas allé très

longtemps mais vous avez besoin d’y retourner !

Retournez à l’ère des mammouths parce que, franchement, le parti

auquel vous appartenez ne peut que vous y ramener !


Conseil Municipal du 13 février 2009

 

 

Les élus du groupe – Interventions

Ecrit par Emmanuelle GAZIELLO

 

 

Délibérations 7.11 : Projet de budget primitif - exercice 2009 : budget

principal et budget annexe de la régie autonome Des musées

 

Sur les manifestations du 10 Janvier à Nice pour une paix durable en Palestine:

M.LE MAIRE:.(...)Vous parlez du réseau de télésurveillance, vous vous enorgueillissez pour l’un d’en avoir fait, pour l’autre qu’on en fasse trop cette année, permettez-moi de vous dire que là où vous avez coupé tous les câbles de l’avenue Jean Médecin et où elle n’était plus sous vidéosurveillance, si je n’avais pas, avec Benoît Kandel, accéléré le programme pour pouvoir rétablir les images et faire en sorte qu’il y ait moins de drames lors des journées des samedis 3, 10 et 17 janvier derniers dans l’avenue Jean Médecin…

 

M. GAECHTER.- C’est la compensation de l’avenue Jean Médecin !

 

M. LE MAIRE.- En tout cas, vous savez, ceux qui ces jours-là sont allés défiler avec des banderoles, ont encouragé les slogans antisémites et ont en même temps soutenu les casseurs, ruiné des commerces de la rue Longchamp, de la rue Alphonse Karr…

Protestations du groupe Changer d’Ère.

 

Mme GAZIELLO.- Mensonge !

 

M. LE MAIRE.- … du carré piétonnier, ne se sont pas grandis, et heureusement que nous avons rebranché notre réseau de caméras de surveillance et que nous sommes en mesure de dire aujourd’hui aux Niçoises et aux Niçois que nous allons en brancher trois cents de plus et que nous ferons de Nice la ville de France le plus sous vidéo-protection, avec Benoît Kandel, parce que les honnêtes citoyens n’ont rien à craindre d’être protégés, il n’y a que les voyous qui ont eu des comportements barbares ces journées-là et qui ont été encouragés par certains d’entre vous qui ont à craindre de la vidéo-protection.

 

M. INJEY.- Je vous demande de retirer vos propos, Monsieur le Maire !

 

 
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