Alors que toute la population et tous les salariés de Nice Matin ont placé le journal sous leur protection, afin que son siège ne soit pas vendu,
alors que de tous les bords politiques arrivent des messages de soutien,
le PDG Eric Debry a démissioné, suite à la lettre de GHM menaçant les salariés et responsables syndicaux de poursuites, et qu'il s'est refusé à endosser.
Le rôle que joue la droite locale avec son spectaculaire "soutien aux salariés", à travers la personne du minstre-maire Ch. Estrosi ainsi que de son compère, le député, Président du conseil Général Eric Ciotti, commence à se dévoiler au grand jour , si l'on prend en compte les accointances de M. Estrosi et de M. Bolloré.
Plus bas, une analyse financière d'un scénario assez crédible du rachat du titre par Bolloré...En attendant, Hersant ou Bolloré, tant que de la devise révolutionnaire, "Liberté, Egalité, Fraternité", nous laisserons la bourgeoisie ne retenir que la Liberté, tant que les travailleurs de ce pays n'imposeront pas l'Egalité, tant que le regroupement en puissants groupes, de titres aussi différents les uns que les autres sera autorisé, la liberté de la presse ne sera plus qu'un vain mot...
Réaction de l'intersyndicale de Nice-matin à l'annonce de la démission d'Eric Debry
Déclaration de la FILPAC CGT sur la poursuite du mouvement
Pourquoi la démission du PDg de Nice-matin, Eric Debry, sur France 3
.